jeudi 12 décembre 2013- 09:28

Grèce : Le Tiers Monde en Europe

Trois millions de Grecs, soit plus de 27,7% de la population, n'ont plus accès aux soins de santé suite à la grave crise économique que traverse le pays. L’organisation humanitaire Médecins du Monde sonne l’alarme : « Nous sommes très inquiets du nombre des gens qui ont perdu leur sécurité sociale en Grèce », ce qui entraîne en particulier « de graves conséquences pour la santé des enfants et des femmes enceintes ».

Irish Famine

L'explosion du chômage (30% des femmes âgées d’entre 25 et 44 ans sont au chômage dans le pays) et le manque d’argent expliquent cette évolution préoccupante. En conséquence, de nombreux enfants ne sont plus vaccinés. Médecins du Monde indique qu’elle a dû procéder à la vaccination de plus de 6000 enfants vivant sous le seuil de pauvreté qui lui ont été présentés au cours des neuf derniers mois. Sans couverture de santé, la vaccination d’un enfant se monte de 1.400 à 1.800 euros, une somme exorbitante pour beaucoup de foyers grecs.
En outre, les femmes enceintes sans sécurité sociale sont contraintes de payer elles-mêmes les frais occasionnés par les examens et l’accouchement. L’organisation a constaté que le nombre d'enfants morts-nés entre 2008 et 2011 a augmenté de plus de 21%.

10 commentaires:



  1. Grèce : la commission européenne exige la saisie des logements des particuliers


    Au parlement d'Athènes, par 153 voix sur 300, les députés conservateurs et ceux du parti socialiste grec ont voté ce week-end la loi de finances qui prévoit notamment une hausse de 2,1 milliards d'impôts et une baisse de 3,1 milliards des dépenses publiques, par des coupes dans les budgets de la santé, de la sécurité sociale et de l'éducation.

    La troïka (UE, FMI et Banque Centrale Européenne) ne se satisfait pas de ces coupes et, faute d'avoir obtenu la mise en oeuvre des réformes demandées, elle annonce le report de sa mission à Athènes au mois de janvier et le gel du prêt d'un milliard d'euros en discussion depuis septembre.

    "Il faut faire plus sur le plan budgétaire ainsi qu'en ce qui concerne les réformes de la fiscalité et de l'administration publique, les privatisations", a expliqué le 4 décembre M.Barroso, président de la Commission européenne. La troïka exige en particulier la fin d'un moratoire sur les saisies immobilières en vigueur depuis plusieurs années et qui protège les familles. Selon le journal I Kathimerini, la levée du moratoire pourrait entraîner la mise au enchère immédiate de 110.000 habitations. La troïka demande de plus la privatisation de trois entreprises publiques et de plus amples coupes dans le budget de l'Etat dont la diminution des salaires des fonctionnaires.

    «Voter pour le budget signifie que le désastre va continuer», a déclaré Alexis Tsipras, le dirigeant de Syriza devant les députés.

    http://parti-ouvrier-independant.fr/2013/12/09/grece-la-commission-europeenne-exige-la-reprise-des-saisies-des-logements-des-particuliers/

    Louise Chantilly

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  2. et les grecs ont une solution toute trouvée , leur puissance d'antan , pour retrouver leur dignité : aube dorée

    pauvre grecs ... ils se plaignent de vivre comme des clochards mais ils votent syriza et compagnie ... tonton dolphi

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  3. Et dire que c'est ce pays, père intellectuel de l'Europe, qui a inventé le mot de tyrannie...
    Après le tyran de Syracuse, aujourd'hui les tyrans sont les anciens barbares. Ils tyrannisent à distance.

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  4. une génération économiquement sacrifiée, jamais ils n'auront de retraite à taux plein, ils ne pourront jamais habiter dans leur propre maison. Découvrir par eux-mêmes d'autres cultures en voyageant.
    Ils peuvent déjà abandonner leurs ambitions de jeunesse.
    çà pourrait être pire, mais d'ores et déjà ils sont mal-nés.
    Les grecs doivent réinventer la démocratie et redevenir le berceau d'un système qui inspirerait les système des nations européennes, juste, équitable, méritocratique, au service de l'intérêt général.
    Les citoyens grecs doivent écrire leur constitution eux-mêmes.

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  5. Vaccins, mensonges et propagande, Sylvie Simon, qui vient de nous quitter :

    En deux siècles d’histoire, la vaccination a connu succès et scandales. Aujourd’hui il est bien difficile de savoir si les données scientifiques sont suffisantes pour créer sans cesse – et sans risque – de nouveaux vaccins.

    Contrairement aux médicaments, les vaccins sont destinés aux bien-portants pour prévenir une hypothétique maladie. Il semble donc important que chacun connaisse les risques de ces maladies ainsi que ceux induits par les vaccins.

    Saviez-vous que la population vaccinée contre la grippe est passée aux États-Unis de 15 % en 1980 à 65 % aujourd’hui, sans qu’aucune diminution des décès liés à cette maladie n’ait été observée ? Pourquoi les autorités de santé taisent-elles le fait que le nombre de décès par rougeole n’a pas diminué depuis 1988 en dépit d’une couverture vaccinale beaucoup plus étendue ? Peut-être parce que les vaccins, loin d’être les parents pauvres des médicaments, sont à l’origine de plus de 20 % du chiffre d’affaires de certains laboratoires pharmaceutiques…

    Écrit par une spécialiste de la désinformation en matière de santé, ce livre contient les données les plus parlantes sur les vaccins – des informations dont bon nombre de médecins n’ont même pas connaissance. Par recoupements de chiffres, de dates, Sylvie Simon démontre magistralement comment l’industrie pharmaceutique, les médias et les gouvernements nous manipulent dès lors qu’il est question de vaccin. Pour qu’on ne puisse plus dire « si j’avais su… ».

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  6. La Grèce n'est que le début ! Allez voir en Espagne, au Portugal et en Italie ... Ca va exploser ! Quand à la France ... c'est pas mieux mais, c'est pas encore pour demain ...

    Au nom de tous les Nôtres !

    Sieg Heil !

    Alex Harris - CLEDM

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  7. Il y a que l'aube dorée pour les sauver de la misère !! le problème aujourd’hui c est que le dirigeant est en prison !!!

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  8. Les grecs doivent en finir avec le mondialisme mortifere ou sinon ils disparaitront remplacer par des basanes sans frontieres

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  9. Puissent les dirigeants actuels de l'Europe finir dans la même misère que nos amis Grecs Je voudrais tant les voir sur le trottoir.... A chaque fois que je vois des Européens dans la misère, je vois rouge, il y a quelque chose d'anormal ! Même si la misère ailleurs me révolte, qu'elle touche un peuple qui nous soit proche comme ça, je ne peux l'admettre...

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  10. Demain,fut le terme lié à l'espoir,mais,demain,ns devrons ns tenir debout,donc,à demain,svp,à demain,pour que le futur ns apporte ce que ns désirons,ce que ns méritons,à demain donc.

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